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Chethu Weerasinghe
Praticien en Ayurveda

Son parcours, son expérience

Né au Sri Lanka en 1954, j’ai grandi dans une famille de 6 enfants, ancrée dans les traditions du bouddhisme Théravada, avec la pratique de la méditation dès notre plus jeune âge. L’Ayurveda faisait partie de notre quotidien, que ce soit au niveau de la préparation des plats, avec le choix des combinaisons alimentaires et des épices les plus appropriées, l’utilisation de remèdes millénaires pour nous soigner, ou encore de l’état d’esprit avec lequel nous avons été élevés. Tout ce vécu s’est imprimé profondément dans ma vie, et je suis reconnaissant de pouvoir partager, aujourd’hui encore, nombre de ces recettes curatives apprises durant mon enfance.

À l’âge de 19 ans, j’ai été choisi par un maître qui m’a initié à la médecine Siddha et à l’Ayurveda. Durant plus de 7 ans, Il m’a transmis une grande partie de son savoir : traitements et alimentation ayurvédiques, thérapies de désintoxication, soins manuels … J’ai ensuite intégré l’université et obtenu un diplôme de Médecine Ayurvédique et Soins Manuels, à Colombo, en 1984.

 

À l’âge de 40 ans, je me suis installé en France, avant de prendre la responsabilité du premier Centre d’Ayurveda pour le Panchakarma en Europe, à Sant Feliu en Espagne. À la suite de cette expérience, j’ai commencé à former des praticiens de santé originaires des quatre coins du monde. J’ai notamment été formateur et consultant thérapeutique en Ayurveda, à l’Université Européenne des Médecines Douces de Turin. De 2012 à 2017, j’ai enseigné la médecine ayurvédique à Paris, au sein de l’ECIM, première école de formation en Médecine Intégrative de France, fondée et dirigée par Mme Caroline Healey. De 2010 à 2018, je suis aussi intervenu au sein du centre de formation Iris Relooking (Paris et Côte d’Azur), enseignant des massages ayurvédiques de bien-être axés sur ‘cinq beautés’ (Kalyana) et le confort des femmes enceintes.

J’ai également animé gratuitement plus d’une centaine de conférences en anglais et en français, dans plusieurs villes d’Europe et dans les Caraïbes.

Cela fait près de 25 ans que j’exerce mon activité de Vaidya en France, avec de riches rencontres qui me permettent aujourd’hui de prodiguer des soins et conseils dans plus de 10 lieux de consultation, répartis sur les départements des Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Saône-et-Loire, Jura, Haute-Garonne, Tarn, Essonne, Paris et Bas-Rhin. Et, avec ce cœur de faire honneur à cette si extraordinaire et précieuse science de la vie, je réalise des consultations gratuites pour les enfants de mes patients (âgés de 3 à 15 ans).

 

La médecine ayurvédique ne traite pas la maladie mais l’être dans son entièreté, en prenant en compte son environnement de vie. Elle va chercher à la racine, pour identifier la cause principale des déséquilibres et fragilités, trouver les solutions adaptées à la personne, et l’aider à rétablir l’équilibre. 

 

Mes Pranams,

Ayurveda Vaidya, Chethu Weerasinghe

Pourquoi consulter Chethu ?

Exerçant en Europe depuis près de 25 ans, je suis heureux de mettre mon expérience à votre service, pour déterminer la cause principale de votre problème de santé physique (sans ignorer les aspects émotionnels, congénitaux et karmiques), conseiller une discipline alimentaire et des méthodes de désintoxication adaptées, prodiguer des soins manuels ancestraux, avec des huiles curatives préparées selon des recettes traditionnelles.

L’unique ennemi pour un thérapeute et ses patients est le temps. Alors, ne perdez plus de temps !

Ses consultations

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Consultation & massage ayurvédiques

La consultation complète se réalise dans un premier temps par un bilan nutritionnel et physique. Quels sont les aliments qui vous conviennent et ceux que vous devez éviter. Quelles sont vos fragilités  ? Quelle est la meilleure manière de garder une vitalité optimale ?

Puis un massage à base d'un mélande d'huiles ayurvédiques, adapté à vos besoins du moment.

La Consultation

≃1 heure - 70 €

Consultation & Massage

≃2 heures - 90 €

LES CHAKRAS ET NOUS...

CHETHU CONSUL FICHE PERSO

Le terme sanskrit chakra (chakka en pali) signifie roue ou disque. Il désigne les centres d’énergies subtils qui animent notre corps et notre esprit, par l’absorption de l’énergie vitale (Prana) qui nous entoure et par sa métabolisation.

Selon l’hindouisme, il y a 7 principaux chakras, alignés le long de la colonne vertébrale, du sommet de la tête à l’extrémité du coccyx. En fonction de leurs propriétés énergétiques, on leur a attribué un nombre de pétales de lotus, une couleur dominante, une sonorité musicale, une planète, des pierres précieuses…

Et bien qu’ils ne soient pas physiques dans leur nature, chacun d’eux correspond à un plexus nerveux de notre corps et est associé à une glande endocrine.

Dans l’ayurveda, le système des chakras est l’une des voies de mano vaha srotas, les canaux qui assurent la circulation de nos perceptions sensorielles, de nos pensées, de notre esprit.

Chaque chakra reflète une qualité spécifique ou un niveau de la conscience, selon qu’il agit sur le plan physiologique, de la personnalité ou de la spiritualité. Les chakras Ajna et Sahasrara sont associés à Prana vayu, l’énergie vitale cosmique qui dirige tous les autres vayu (souffles).

La médecine ayurvédique ne traite pas que la maladie mais l’être dans son entièreté, en prenant en compte son environnement de vie.

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 1er Chakra : MULADHARA (aussi appelé Kundalini, Kundali, Arundhati, Shakti, Bhugangi), le chakra du plexus coccygien :

En sanskrit, mula signifie « racine » et adhara « support » ou « fondation ». Muladhara se situe à la base de la colonne vertébrale, entre l'anus et les organes génitaux.

Associé à l’odorat et à l’élément Terre, le chakra racine est connecté à Annamaya kosha, notre corps physique (en sanskrit, anna désigne la nourriture et maya se traduit par « est constitué de »). Constitué de matière organique, notre corps a d’abord besoin de l’oxygène, de l’eau et de la nourriture que lui fournit son environnement physique, pour assurer sa survie. Répondre à ces besoins physiologiques vitaux, disposer d’un d’abri pour dormir et se protéger, avoir aussi de quoi se vêtir est indispensable. Ceci est également valable pour les animaux qu’ils soient à plumes, à poils ou à écailles !

Lorsque les énergies impulsées par Muladhara chakra dominent, la satisfaction de ces instincts primaires devient notre seule motivation. Tout tourne autour de ça. Cela dépend de notre état de conscience. Lorsqu’il est équilibré, ce chakra nous procure un sentiment de sécurité, de stabilité et d’ancrage dans le monde physique.

Quelques questions et réponses pour mieux comprendre les chakras et leur impact...

La maladie peut-elle déséquilibrer ces chakras ?

Notre santé physique, notre état mental et émotionnel impactent l’état énergétique des chakras. Même s’ils restent fonctionnels, ils seront moins opérationnels car la maladie va les ralentir.

Pour accroître notre vitalité et augmenter la capacité de nos chakras, il est primordial de se nourrir sainement, en choisissant des ingrédients qui favorisent la clarté de l’esprit et qui n’alourdissent pas le corps, des combinaisons alimentaires adaptées à notre constitution de naissance (Prakruti) et à notre situation de santé (Vikruti). 

Les textes sacrés de l’Inde enseignaient l’essence divine de toute vie sur terre et la pratique yogique d’Ahimsa (la non-violence). Les yogis ont ainsi privilégié un régime végétarien, afin de conserver la pureté de leur sang et de s’élever spirituellement.

 

Les exercices yogiques et respiratoires (Pranayama) tels Nadi shodhana, Anuloma viloma ou encore Surya bhedana, la chromothérapie, les plantes médicinales et la stimulation de nos marmas aident aussi à l’harmonisation et au bon fonctionnement de nos chakras.

 

Les marmas constituent des voies de passage de l’énergie vitale cosmique (prana), tandis que les chakras en sont le réservoir. La stimulation d’un marma va donc activer l’énergie du chakra auquel il est relié, ce qui aura pour effet de régénérer ou soulager la zone du corps correspondante.

 

Durant la grossesse, dans l’utérus, la Kundalini (énergie fondamentale) de la mère est intimement connectée à celle de son enfant au travers de Manipura chakra et du marma Nabhi (situé au centre de l’ombilic). Et c’est à la naissance, au moment de la première inspiration, que la Kundalini du nouveau-né va s’enrouler et venir se lover au niveau du chakra racine.

Afin de faire monter la Kundalini, les yogis vont stimuler Nabhi en contractant la sangle abdominale, notamment par la pratique d’Uddiyana bandha, Kumbhaka, Antar kumbhaka et dans la posture du Paon (Mayurasana).

De nombreux mantras et diverses techniques de concentration de la pensée sont utilisés depuis des siècles pour activer cette puissante énergie cosmique.  

 

 

Mes Pranams,

Vaidya Chethu Weerasinghe,                                    

Praticien en Ayurveda

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